Quand la thyroïde tourne au ralenti
PAR ÉVELYNE GOGIEN L’hypothyroïdie, qui touche surtout les femmes après la ménopause, provoque des symptômes gênants mais aussi, à terme, des complications cardiaques. Explications sur ses causes et son…
Dr BRIGITTE BLOND
Ce syndrome qui, comme son nom l’indique, précède les menstrues, est très variable d’une femme à l’autre. On s’en occupe sérieusement quand il gâche (au moins) quelques heures de vie chaque mois.
Juste avant les règles, certaines femmes ont l’impression d’être gonflées et d’avoir les seins plus tendus. Elles sont aussi plus irritables. Le signe le plus gênant est la congestion du bas-ventre qui se traduit parfois par des douleurs violentes, heureusement éphémères. Une sorte d’accouchement en miniature. Sous l’effet de la chute des hormones en fin de cycle, lorsque l’ovule du mois n’a pas été fécondé, des prostaglandines sont sécrétées, provoquant la contraction de l’utérus pour expulser une partie de la muqueuse, à l’origine de cette douleur.
Jeunes filles
La majorité des jeunes filles en souffrent, tôt après la puberté, et pour un certain temps. Ce syndrome prémenstruel est d’ailleurs l’une des principales causes d’absentéisme scolaire. Pour commencer, en plus de la bouillotte placée sur le ventre qui va décontracter les muscles crampés de l’utérus, on prend, ponctuellement, du paracétamol, antalgique de référence, voire un anti-inflammatoire non stéroïdien. Si cela ne suffit pas, on doit alors s’interroger sur la possibilité d’une endométriose (voir encadré). Les pilules progestatives, qui lissent les à-coups hormonaux, prises dix jours par cycle (du 15e au 24e jour), sont le traitement d’un syndrome prémenstruel mal toléré (avec des précautions d’emploi) pour les jeunes femmes qui ne souhaitent pas avoir d’enfant tout de suite.
Petits moyens
On peut aussi compter sur les plantes. Ainsi, l’achillée millefeuille, en plus d’être un puissant anti-inflammatoire, calme les spasmes, l’alchémille mime les effets d’un progestatif, la mélisse gomme les sautes d’humeur, comme les extraits de pollen associés au safran. On peut apaiser la douleur en massant directement le ventre avec 2 gouttes d’huile essentielle de camomille noble et 2 gouttes de lavande vraie. L’homéopathie permet de réguler les variations hormonales : Colocynthis 9CH et Caulophyllum Thalictroides 9CH (une fois l’un, une fois l’autre), 5 granules trois à quatre fois par jour dès la première crispation. Autre option, une dose-globule (le contenu du tube) de Folliculinum 15CH au 8e et 20e jour du cycle (le premier jour correspondant au premier jour des règles), sur trois cycles, par exemple. ●
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